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Chaque greffe compte 

État des lieux et recommandations pour les décideurs politiques sur l’amélioration des soins post-greffe. 

La transplantation d’organes solides est un ensemble de stratégies thérapeutiques qui peuvent offrir une nouvelle vie et un accès à une véritable qualité de vie à de nombreuses personnes touchées par des maladies mortelles en impliquant une expertise large et pluridisciplinaire. La transplantation repose sur le don d’un organe : la valeur de ce don est renforcée par la qualité des soins prodigués après la transplantation, qui mènent à une vie meilleure et plus longue. Par conséquent, il est impératif que toutes les parties prenantes impliquées encouragent les soins cliniques, la recherche scientifique et l’organisation des soins de santé afin d’obtenir une survie à long terme avec une bonne qualité de vie.

Takeda est une société biopharmaceutique mondiale centrée sur le patient, fondée sur des valeurs, guidée par la recherche et le développement (R&D), et déterminée à apporter une meilleure santé et un meilleur avenir aux populations du monde entier. Chez Takeda, tout commence par se demander : « Que peut-on faire de plus pour les patients ? »

Pour que chaque greffe ait les meilleures chances de réussite possible, les équipes de transplantation doivent disposer des ressources et du soutien nécessaires pour fournir des soins de qualité, de la préparation, à la greffe en passant par les soins de suite. Dans ce cadre, des efforts sont déployés pour prévenir et traiter les infections virales communes auxquelles les patients transplantés sont particulièrement vulnérables, telles que le cytomégalovirus (CMV). 

Les équipes de transplantation travaillent à prévenir ou prendre en charge de manière proactive le CMV et d’autres infections virales lorsqu’elles surviennent, mais, pour un faible nombre de patients, ces infections peuvent néanmoins entrainer des complications importantes après la greffe. 

Takeda a cherché à comprendre la manière dont un environnement politique favorable pouvait faciliter les services de transplantation nationaux et encourager les organisations de patients afin d’améliorer les soins liés aux greffes pour chaque patient, en particulier concernant la lutte contre les infections post-greffe. Les décideurs politiques ont en effet un rôle crucial à jouer dans la définition des priorités nationales, l’encouragement des investissements dans les services de santé et de soins, et le partage des bonnes pratiques à la fois au sein et entre les différents pays. 

Takeda s’engage donc à analyser le paysage politique des services de transplantation dans six pays, le Canada, l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, dans le but d’identifier les points communs et les points de divergences, les bonnes pratiques, et de suggérer des solutions politiques éventuelles lorsque cela est possible. 

Cet état des lieux présente les thèmes clés émergeants de l’analyse du paysage politique ainsi que des discussions ultérieures avec des cliniciens experts en transplantation d’organes solides
et de cellules souches, et des représentants de patients dans toute l’Europe et au Canada. Il établit également des recommandations sur la manière dont les décideurs politiques peuvent soutenir les services de transplantation afin de lutter efficacement contre les infections post-greffe. 

https://trans-forme.org/la-greffe-et-le-don-d-organes

Ce rapport a été initié, organisé et financé par Takeda à l’aide d’informations provenant d’un groupe de travail d’experts. Pour le retrouver en intégralité cliquez ici.

N°61, Takeda, soins post-greffe